11,9% en bon père de famille

29 06 2025
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Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
 
Il y a parfois du bon à NE PAS être à la mode… Voire carrément ringard.
 
Nous allons voir aujourd’hui comment faire fructifier votre épargne de manière triplement ringarde et redoutablement efficace, particulièrement en ce moment pour des rendements de 6 à 12% : Ne nous privons pas.
 
Cet investissement ne vous sera que rarement proposé par votre conseiller bancaire car il n’arrange pas les grandes banques et compagnies d’assurance qui se sont mises dans un drôle de pétrin dont nous allons bien sûr tirer parti.
 
Quand le monde s’entredéchire en Orient sur de savants mélanges de guerres de religion, territoire, pétrole et opinion, il n’est pas insensé de retourner, selon la chanson, auprès de mon arbre.
 
Quand les grandes agences de presse redoublent d’ingéniosité pour expliquer comment des échanges de missiles entre l’Iran et les États-Unis peuvent faire baisser les prix du pétrole… Mieux vaut aller repiquer nos tomates.
 
Nous reviendrons bientôt sur le pétrole… Mais pour le moment, les missiles peuvent siffler, les tankers passent.
 
L’essence ne viendra pas retaquiner les 2,50€ à la pompe et les juilletistes et aoutiens pourront se chasser et se croiser sans suer davantage à la station-service qu’au soleil brûlant de la plage bondée tant recherchée.
 
 
Un investissement triplement ringard et redoutablement efficace

 
Retournons donc auprès de notre arbre qui ne bouge pas, l’immuable par excellence en investissement.
 
Pour ses détracteurs, cet investissement est un mauvais refuge :

  • Qui ne stimule guère l’activité économique,
  • Insensible aux innovations,
  • À la merci d’un législateur aux abois,
  • Dont la rentabilité a été mise à mal.
 
Nous parlons pourtant de l’investissement préféré des Français, le placement de « bon père de famille », vous avez sans doute reconnu l’immobilier.
 
Et nous allons faire encore bien pire et triplement ringard : Non seulement nous nous intéressons aujourd’hui à l’immobilier mais résidentiel encore… Et en province qui plus est !
 
Pendant près de 20 ans tout le marché immobilier d’investissement était tourné sur les bureaux et le commercial à Paris. Vraiment, il n’y avait rien à faire en dehors de Paris, qui plus est pour construire des maisons d’habitation sans grande valeur sur des terrains qui n’en avaient pas plus… Merci le centralisme à la française.
 
 
Le « bon père de famille » ne cherche pas la mode mais un rendement raisonnable pour un risque limité
 
Je vois fleurir les articles de presse spécialisés sur la timide reprise de l’immobilier à Paris et dans les grandes métropoles.
 
Je lis les témoignages de directeurs d’agences, timides, qui se demandent encore ce qui leur est tombé sur la tête et si les prix vont enfin se stabiliser…
 
Là où nous nous positionnons, pas tant d’atermoiement : les prix montent de 3,4%, 4,9% et même 7,3% en un an… Et ils vous permettent en plus de toucher des rendements locatifs de 6 à 12%… Il y a parfois du bon à ne pas être à la mode.
 
Si vous suivez mes travaux vous savez que déjà il y a 5 ans je vous alertais sur les problèmes de l’immobilier d’investissement et de la célèbre « pierre-papier ».
 
Il y a 3 ans, avant même la grande baisse parisienne, je vous proposais déjà l’investissement immobilier de province juste avant qu’il prenne son essor.
 
À nouveau aujourd’hui, il est important de nous y intéresser pour 3 raisons, surtout si vous n’aviez pas saisi l’opportunité en 2022.
 
PREMIÈRE RAISON : le Titanic est en train de tourner… Prenez la vague, pas l’iceberg.

 
Ainsi donc, il y a 5 ans déjà, je vous avertissais d’un danger de l’immobilier d’investissement, en particulier celui de la « pierre-papier », SCPI en tête, ces sociétés de placement immobilier qui vous permettent d’acheter des parts d’immeubles « presque » aussi facilement qu’une action boursière.
 
Archive Investisseur sans costume
 
En 2020, le secteur des SCPI et plus largement les portefeuilles des grandes banques et assurances étaient presque uniquement tourné vers l’immobilier de bureau à Paris et en Île-de-France.
 
C’était une époque où l’on voyait encore les « conseillers » financiers placer des tombereaux de mauvais immobilier de bureau en mauvaise banlieue parisienne et j’étais excédé de ces goinfres de la commission qui ne se souciaient absolument pas des effets pourtant déjà clairs du COVID : L’organisation du travail, en particulier celle des cadres, a très fortement évolué depuis le COVID.
 
Le télétravail s’est envolé avec le COVID et après une décrue, s’est stabilisé à un niveau plus de 10 fois supérieur à celui de 2019.
 
 
5 millions de m2 carrés de bureaux EN TROP en Île-de-France !
 
Selon l’INSEE, le nombre de salariés pratiquant le télétravail est passé de 4 à 30% au pic de mars 2020 et se stabilise à 22% en 2024 : Le nombre d’employés pratiquant le télétravail a été multiplié par 5 et demi.
 
En 2019, la durée de télétravail était d’un jour par semaine en moyenne… Il a désormais doublé pour se stabiliser à 2.
 
5 fois plus de salariés qui passent 2 fois plus de temps en télétravail font une augmentation d’un facteur 10 !
 
Et cela concerne tous les salariés… Le chiffre est 3 fois supérieur pour les cadres et les emplois tertiaires de bureau dont le travail se fait bien plus facilement à distance.
 
Selon mes estimations, cela fait 5 millions de mètres carrés devenus inutiles par cette explosion du travail à distance qui restent sur les bras des bailleurs.
 
 
Spécialisé dans le financement d’entreprises technologiques à haut rendement… Cet investisseur se positionne pourtant sur l’immobilier 

 
Évidemment, les grandes banques et assurances qui détiennent pour elles-mêmes et leurs clients une grosse partie de ce parc obsolète ne crie pas sur les toits ce problème massif de 5 MILLIONS de mètres carrés désormais sans valeur…
 
Mais j’ai eu la chance de travailler ces dernières semaines avec Guillaume Mayot, spécialiste de la banque d’investissement qui a fait les mêmes constats que nous au même moment, à une époque où nous ne nous connaissions pas.
 
Nous nous sommes rendus compte que le moment de bascule actuel était particulièrement propice à l’investissement immobilier, surtout si vous avez manqué l’opportunité qui a immédiatement suivi le COVID… Cette opportunité, à mon avis ainsi que celui de Guillaume, est plus importante encore aujourd’hui qu’en 2021 ou 2022.
 
Nous avons travaillé d’arrache-pied pour mettre à jour notre recherche et nos analyses pour vous proposer un dossier d’investissement et une conférence des investisseurs en immobilier.
 
J’y reviens ci-dessous, mais regardons d’abord l’ampleur de ce grand mouvement vers le travail à distance et tirons les enseignements de 5 ans d’expérience grandeur nature.
 
 
Grève historique pour le télétravail

 
À l’heure où j’écris ces lignes, la Société Générale fait face à la première grande grève pour la sauvegarde du télétravail. La banque souhaite limiter à 1 le nombre de jours travaillés à distance chaque semaine contre 2 à 3 aujourd’hui.
 
Il est trop tôt pour connaître l’issue de cette grève historique mais nous savons déjà qu’elle a été particulièrement suivie et que plus d’un cadre sur 2 en France déclare qu’il démissionnerait si on touchait à son télétravail.
 
J’avais discuté il y a quelques années avec le directeur financier d’un grand groupe mondialisé qui m’avait dit son intention de fermer les grands sièges de plus de 500 salariés au profit d’implantations beaucoup mieux réparties en France et dans le monde… de 100 employés maximum.
 
 
10 à 15% des surfaces de bureaux condamnées en Île-de-France

 
Il n’est donc pas très spéculatif de prévoir la disparition à terme de 10 à 15% des surfaces de bureaux en Île-de-France. C’est d’une ampleur que même les perspectives de croissance les plus folles dans la décennie qui vient ne peuvent absolument pas venir compenser.
 
Il y a 55 millions de m2 de bureaux en Île-de-France, ce sont au minimum 5 MILLIONS de mètres carrés qui sont désormais obsolètes.
 
Évidemment, ces mouvements sont longs à mettre en place, une partie de ces surfaces pourra être reconvertie en logements, mais encore faut-il que les surfaces s’y prêtent et que les mairies modifient leurs plans d’urbanisme.
 
À l’inverse, l’essor du télétravail semble bien inéluctable tant il permet de réconcilier des baisses de coûts très significatives pour l’employeur et l’employé (les cadres connaissent une baisse historique de leur pouvoir d’achat depuis 2 ans) tout en conservant une présence significative dans un bureau de province afin de s’assurer de la productivité des équipes.
 
Vraiment, le travail à distance, à la maison ou dans un petit centre de province est là pour rester.
 
 
Crise existentielle pour les bureaux en Île-de-France
Ajoutez à cela la crise économique qui s’installe et vous avez les conditions parfaites pour une crise existentielle de l’immobilier de bureau francilien.
 
Votre serviteur a pu s’en rendre compte de première main : au-delà des chiffres et des statistiques, j’ai pris des bureaux il y a quelques semaines en 1ère couronne parisienne et j’ai pu constater la crise du marché, les biens à louer sont pléthoriques et ne partent pas, les agents sont déprimés, les bailleurs anxieux et les locataires coincés par des baux qu’ils ne peuvent plus tenir.
 
 
Les commerces ne se portent pas mieux

 
Il n’y a bien sûr pas que les bureaux dans l’immobilier commercial…
 
Mais les commerces ne se portent pas beaucoup mieux avec l’essor des ventes en ligne, qui ont, elles-aussi, connu un gros coup de fouet avec le COVID et ont encore progressé de 10% l’année dernière.
 
Bien sûr, nous avons désormais les chiffres et des tendances bien établies mais je suis encore en colère des années 2021 et 2022 pendant lesquelles les conseillers plaçaient encore cet immobilier commercial francilien à tour de bras alors qu’il n’était guère besoin d’être grand vizir pour voir le mur dans lequel ce secteur allait se fracasser.
 
 
Le bateau commence à peine à virer devant l’iceberg

 
Le problème est que la durée d’investissement minimale dans une SCPI ou un projet immobilier est généralement d’une dizaine d’années et tout particulièrement en cas de retournement de marché.
 
Le temps qu’ils se rendent compte de leur bêtise, que les chiffres arrivent jusqu’à eux, ils sont seulement en train de faire virer le navire.
 
Cela a des conséquences très importantes pour nous :
 
Rendement et valorisation : Le double essor des petites villes de province se confirme !

 
Tout d’abord, cela confirme cette tendance de fond de relocalisation des familles dans des petites villes de province bien connectées, bien équipées et bien gérées.
 
Ce sont ces villes qui voient leur immobilier s’envoler de 3 à 7% par an quand les métropoles vacillent. Ce sont ces villes que je vous conseille depuis 3 ans et dans lesquelles Guillaume Mayot investit également.
 
Certaines d’entre elles vous permettent également de conjuguer un excellent rendement locatif avec une appréciation importante de la valeur des biens… Ce n’est pas compliqué c’est quasiment du jamais-vu.
 
J’entends encore de grands gestionnaires aveuglés par les milliards sous gestion de leurs portefeuilles de bureaux et centres commerciaux à Paris m’expliquer que mes analyses ne tiendraient pas dans la durée et qu’once les remous de COVID passés, tout rentrerait dans l’ordre…
 
C’est bien l’inverse qui se produit, rien ne rentre dans l’ordre et ce sont eux qui paniquent désormais.
 
 
Moment de grâce : Les grands investisseurs arrivent mais il leur faut 5 ans (au grand minimum) pour prendre ce virage

 
Quand je vous dis de prendre la vague du Titanic plutôt que l’iceberg dans lequel ces capitaines d’opérette foncent… C’est à prendre quasiment littéralement.
 
Ils savent bien désormais l’erreur qu’ils ont faite de foncer tête baissée sur des tendances certes juteuses mais trop fragiles pour ces paquebots.
 
Mais ils ne leur suffit pas de le savoir pour se repositionner instantanément… Il leur faut d’abord dégager des liquidités qu’ils n’ont pas auprès d’investisseurs mécontents des baisses des 2 dernières années ou en vendant des biens dont plus personne ne veut sauf à accepter des décotes qui feraient plonger le marché dans des abîmes insondables.
 
Nous sommes donc dans ce moment de grâce où le paquebot des grands investisseurs a mis la barre à tribord toute mais il faudra 5 minimum pour qu’il tourne effectivement à cause de leur inertie naturelle.
 
Voilà une vague qui est bonne à prendre pour nous les petits pour qui il est bien plus aisé de pivoter et de surfer, pour une fois, sur la vague des gros paquebots de l’investissement.
 
 
Bien sûr, ils ne vous en parlent pas

 
Les grandes banques et assurances qui forment l’essentiel des grands investisseurs institutionnels — en partie avec votre épargne d’ailleurs — ne vont évidemment pas vous vendre la mèche… En tout cas avant qu’ils se soient repositionnés eux-mêmes.
 
À d’avoir un patrimoine qui se compte en millions d’euros et plutôt en dizaines, ils ont l’habitude de vous fourguer leurs mauvais coups et les pertes qui vont avec, certainement pas les bonnes opportunités qui pourraient se faire sur leur dos.
 
C’est d’ailleurs l’un des gros problèmes du secteur bancaire géré par des énarques depuis que l’on a nationalisé les banques sous Mitterrand (c’est resté) et si fier de son fameux modèle de banque universelle — monopolistique serait plus juste — et qui sert surtout à vous traire universellement.
 
Guillaume connaît bien pour avoir vécu le système de l’intérieur.
 
À ce méchant jeu, tous les coups sont permis y compris — voire surtout — les coups bas réglementaires….
 
 
SECONDE RAISON : Le grand scandale des « passoires thermiques »

 
On ne peut pas comprendre le sens véritable des réformes sur les « passoires thermiques » sans ce retard des grands investisseurs institutionnels sur le marché immobilier résidentiel.
 
Les passoires thermiques sont ces logements dont le diagnostic de performance énergétique —DPE— est classé F ou G… Et même E à terme.
 
Ces logements mal isolés et le plus souvent vétustes ne pourront plus être loués à terme, cette année pour les G, en 2028 pour les F et 2035 pour les E.
 
Or les logements classés E, F ou G représentent 40% du parc immobilier français !
 
Officiellement, il s’agit évidemment de faire baisser la température et sauver les ours blancs au Pôle Nord tout en modernisant le parc immobilier pour le plus grand bien de ses occupants.
 
Ça c’est pour la belle histoire. La réalité est évidemment toute autre : ce grand plan de la Macronie ne tient pas debout, ces génies autoproclamés sont les pires gestionnaires de la France depuis un bon paquet de siècles.
 
Vous ne pouvez pas EN MÊME TEMPS encadrer drastiquement les loyers dans les « zones tendues » qui sont également celles où l’on trouve le plus de logements vétustes et interdire à la location la moitié des logements… C’est l’explosion assurée.
 
Vous ne pouvez pas non plus décréter comme cela que 40% des logements partout en France devront être rénovés dans les 15 prochaines années et EN MÊME TEMPS faire la guerre aux artisans et ouvriers.
 
C’est bien simple, l’objectif est tout simplement intenable rien qu’en regardant le secteur de la rénovation immobilière : il est incapable d’encaisser un tel bouleversement.
 
Guillaume Mayot a fait l’analyse du secteur de la rénovation immobilière et son constat est sans appel.
 
Alors quoi ?
 
 
Le véritable effet des réglementations sur les passoires thermiques

 
Ces gens sont-ils donc si nuls ?
 
Je crois bien que oui, mais cela ne suffit pas à expliquer leur folie planificatrice.
 
Le premier effet de l’interdiction à la location des « passoires thermiques » est d’en faire baisser les prix afin que nos gros investisseurs institutionnels puissent les récupérer en blocs à vil prix tout en touchant le jackpot sur les logements neufs qui se retrouvent eux revalorisés d’autant par cette concurrence interdite.
 
Et si vous en doutiez encore, voyez comment le gel des aides sur les rénovations de logements plonge le secteur tout entier dans la crise… alors même qu’il devrait être en plein boom pour atteindre les objectifs fous du gouvernement.
 
Ajoutez à cela la folie des Zones à Faibles Émissions qui favorisent les centres-villes des agglomérations et vous avez surtout-là une bonne grosse manipulation pour laisser le temps à nos gros paquebots d’investisseurs institutionnels de se repositionner sur le marché immobilier résidentiel, en particulier en province.
 
Je vous rappelle que banques, assurances et ministères sont gérés par les mêmes énarques en France.
 
 
Pour une fois, la réglementation vous est favorable

 
Si ces réglementations sont taillées pour les grands copains banquiers et assureurs, camarades de promotions de ceux qui font les décrets et ordonnances, rien ne vous interdit d’en bénéficier vous aussi.
 
Cette réglementation favorise ceux qui sont capables de rénover les logements que ce soit en direct ou en sélectionnant les fonds qui ont spécifiquement développé ces compétences.
 
Le fait que cette réglementation soit radicalement inapplicable ouvre aussi la voie à un second effet kiss cool pour le cas probable où ces réglementations seraient allégées voire abrogées faisant remonter les valeurs de ces biens acquis au rabais.
 
La réglementation est traditionnellement vue comme un risque de l’investissement immobilier.
 
Surcoût normatif, taxes, instabilité réglementaire : Vous ne pouvez échapper à aucun de ces risques car votre investissement immobilier est par définition « immobile ».
 
Il est plus rare de voir le verre à moitié plein et les avantages qui peuvent surgir de cet environnement pénible.
 
Il y a ici un effet retard qui vous permet d’investir avec des perspectives de rendement très favorables pour un risque très limité.
 
 
Passez de la théorie à la pratique : Construisez votre patrimoine avec l’aide d’un grand professionnel

 
Comme vous pouvez le voir, j’ai déjà passé un temps considérable sur les enjeux structurels du marché immobilier français, ses promesses et ses risques.
Après le travail d’analyse fondamentale, place à la pratique.

 
Quelles sont les meilleurs projets sur lesquels nous positionner aujourd’hui aussi bien en direct que via des fonds ?
 
Comme je vous l’ai dit plus haut, j’ai décidé pour cette phase de m’entourer d’un grand spécialiste de l’investissement : Guillaume Mayot.
 
Guillaume est un grand expert du financement de sociétés innovantes…
 
Mais quel ne fut pas mon étonnement de découvrir que les perspectives de haut rendement du secteur technologique ne l’avaient pas détourné du marché immobilier dont il est friand à tire personnel comme professionnel.
 
Pendant 7 ans, Guillaume a mis son expertise au service des grands clients de la banque d’affaires de la Société Générale. Il a créé sa propre structure depuis 3 ans et participé à plus de 60 opérations de financement sur des technologies innovantes en blockchain, santé, industrie… Y compris dans leurs composantes immobilières.
 
Il connaît très bien le marché de l’immobilier commercial, en particulier ses faiblesses et c’est ce qui lui a permis de s’en éloigner suffisamment tôt pour prendre la vague que personne n’attendait du résidentiel en province.
 
C’est pourquoi je suis particulièrement heureux qu’il partage son expertise avec nous aujourd’hui.
 
Vous savez que la mission de l’Investisseur sans Costume est d’apporter à tous les épargnants et investisseurs individuels des analyses et conseils de la qualité de ceux que reçoivent les grands banquiers et entrepreneurs : C’est pour cela que nous nous regroupons.
 
Et c’est dans ce cadre que je vous invite à la Conférence des Investisseurs EXCEPTIONNELLE du lundi 7 juillet pour vous positionner sur la révolution de l’IA avec Guillaume et moi.
 
Mais j’ai évoqué 3 raisons structurelles de prendre la vague du grand réajustement vers l’immobilier résidentiel de province :

  • Anticiper le virage des grands investisseurs enferrés dans leurs bureaux franciliens ;
  • Bénéficier des réglementations ineptes des passoires thermiques qui font pression sur le marché à la baisse

Mais nous n’avons pas encore évoqué la 3e raison :

 
 
+22% —TROISIÈME RAISON : Les perspectives de baisses de taux ouvrent encore des perspectives de gains SUPPLÉMENTAIRES de VINGT-DEUX POURCENT

 
La baisse des taux à peine amorcée par la Banque Centrale Européenne vous permet d’espérer un gain supplémentaire.
 
Et ce gain est tout sauf neutre : Il pourrait bien être de plus de 20% !
 
Au plus haut de la crise, les taux d’emprunt immobilier ont dépassé les 4% en moyenne comme le montre Guillaume dans le dossier des investisseurs en immobilier.
 
Ils ont depuis reflué à 3% au moment mais Donald Trump a annoncé qu’il allait faire pression sur la Fed américaine pour qu’elle baisse ses taux à 1% outre-atlantique.
 
La BCE n’attend que cela pour desserrer l’étau elle-même et se mettre dans la roue des États-Unis.
 
Comme le montre Guillaume, le coût total du crédit peut facilement atteindre 1/3 du prix total de votre investissement immobilier.
 
Chaque hausse des taux a renchéri l’accès à l’achat immobilier et après une période de gel des transactions, les prix ont baissé en moyenne en France alors même que les taux baissaient, à cause de cet effet retard. C’est pour cela qu’il est intéressant d’investir aujourd’hui.
 
Comme vous montre Guillaume, chaque baisse de taux de 1% se traduit par une baisse de 11% en moyenne du crédit… C’est autant que les acheteurs peuvent mettre EN PLUS dans le prix du bien.
 
C’est un fonctionnement classique du marché immobilier : on cherche le plus souvent le meilleur pour le crédit maximum.
 
C’est-à-dire que vous pouvez aujourd’hui négocier de bons prix à cause des taux qui sont encore à 3%… Mais le jour où ces taux baissent, non seulement vous pouvez renégocier le taux auprès de votre banque, mais le prix de votre bien aura un potentiel de hausse moyen de +22% si les taux reviennent à 1%.
 
Ce n’est évidemment pas certain, mais c’est a belle cerise potentielle.
 
 
Le dossier et la conférence vous donnent les clés pour investir EN DIRECT ou via des fonds sélectionnés avec soin

 
Dans le dossier que nous avons écrit avec Guillaume, vous trouverez non seulement les villes dans lesquelles l’investissement est le plus porteur, mais ce n’est pas tout.
 
Vous trouverez également les règles pour sélectionner les villes les plus prometteuses près de chez vous si vous souhaitez investir EN DIRECT.
 
Guillaume vous donne toutes les clés pour que votre investissement soit un succès.
 
Mais nous savons également que tout le monde — moi le premier — n’a pas l’âme d’un gestionnaire de biens qui s’occupe des contrats, de l’administratif, des assurances, des crédits, des travaux, des locataires…
 
Pour nous, il existe deux solutions qui propose Guillaume dans le dossier :

  • Soit de déléguer la partie gestion et administration. Les rendements jusqu’à 12% du résidentiel de province permettent de rémunérer un intermédiaire tout en conservant un rendement tout à fait décent ET les mêmes perspectives de gain en capital.

 

  • Soit de nous positionner sur des fonds qu’il a sélectionnés avec soin : Guillaume a sélectionné 3 fonds qui ont évité l’écueil mortel du bureau francilien et qui se sont spécialisés sur des actifs réversibles qui peuvent être passés en bureaux ou logements selon la conjoncture, sur l’efficacité énergétique et dans les services de proximité en province. Ce sont de petites pépites que Guillaume a déniché dans un environnement largement dépassé par son excès passé.
 
 
INVITATION EXCLUSIVE POUR LA CONFÉRENCE DES INVESTISSEURS EN IMMOBILIER LUNDI 7 juillet À 20H

 
Voici ce que je vous propose : Retrouvons-nous en ligne lundi prochain 7 juillet, à partir de 20h à la conférence des investisseurs en immobilier afin de vous présenter notre stratégie d’investissement EN DIRECT et EN PRATIQUE.
 
 
La conférence se déroulera en 3 parties et durera 1h30 environ. J’interrogerai Guillaume sur l’état des lieux du marché immobilier, il vous proposera sa stratégie puis répondra à vos questions.
 
À l’issue de la Conférence, vous recevrez votre dossier d’investissement complet.
 
Ce dossier vous donnera accès à la stratégie complète de l’analyse aux opportunités d’investissements que ce soit EN DIRECT ou via des fonds précisément sélectionnés.
 
Si vous connaissez mon travail, vous savez que je passe toujours beaucoup de temps à résoudre des problèmes DIFFICILES et vous le présente de manière SIMPLE afin de le rendre accessible à toute personne de bonne volonté avec un peu de temps et d’esprit critique.
 
Si vous n’êtes pas disponible ou si vous avez un empêchement de dernière minute, la conférence sera accessible en rediffusion et vous pourrez nous envoyer vos questions en avance.
 
Puis chaque mois, nous organiserons une nouvelle conférence qui nous permettra de suivre la stratégie, l’adapter et vous proposer de nouvelles opportunités.
 
Notre travail s’adresse à tout investisseur individuel qui souhaite reprendre son épargne en main et dispose d’au moins 10 000€ à investir — C’est la somme nécessaire pour commencer à construire un portefeuille diversifié.
 
Grâce à mes analyses, beaucoup d’entre vous ont pu se positionner en avance de phase sur le Bitcoin (dès 2016), l’or, l’uranium, l’immobilier résidentiel, le financement participatif de PME locales, le Franc suisse… Des stratégies qui nous ont très bien réussi grâce à des analyses poussées à fond et des recommandations sélectionnées avec soin.
 
J’ai souhaité réunir ce travail de longue haleine dans ce format mensuel en ligne et en direct, nos Conférences des Investisseurs.
 
 
40 nouvelles places disponibles

 
Pour que vous puissiez profiter à plein de la Conférence et que nous ayons le temps de répondre à vos questions, j’ai limité la conférence à 40 nouvelles places.
 
Elles sont distribuées selon l’ordre d’inscription, aussi ne tardez pas si vous souhaitez y participer.
 
Enfin, je vous demande une participation de 67€ pour la conférence, renouvelée mensuellement tant que vous souhaitez participer aux conférences et au suivi de nos stratégies sans aucun engagement de votre part.
 
Ces 67€ permettent de financer le long et fastidieux travail de recherche et analyse afin de dépasser le consensus mou comme les effets de modes, il me permet aussi de m’assurer qu’il n’y a que des gens motivés à la Conférence afin d’en assurer la meilleure qualité.
 
 
À votre bonne fortune et au lundi 7 juillet avec Guillaume et moi,
 
Guy de La Fortelle
 
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
 
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ». 
 
J’ai écrit un article complet sur 11,9% en bon père de famille
 
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À votre bonne fortune,
 
Guy de La Fortelle


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