Capital garanti : un problème, une solution

10 01 2021
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Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
 
Ma lettre aujourd’hui sera courte : un problème, une solution.
 
Le problème : les fonds euros d’assurance vie au capital garanti si précieux sont obsolètes et condamnés et l’alternative des unités de compte (UC) poussée par les assureurs est mauvaise :
  • Les unités de compte NE répondent généralement PAS à la demande de sécurité pour une épargne de précaution comme l’assurance vie ;
     
  • Elles sont surchargées en frais ;

  • Et la très grande majorité des fonds sont mal orientés et non adaptés aux nouveaux enjeux avec surpondération du secteur financier, des actions et de l’immobilier de bureau et commercial… Mais il est difficile de s’en rendre compte tant leurs compositions précises sont compliquées et opaques.
J’ai enregistré une vidéo importante que je vous invite à regarder tranquillement et à partager autour de vous pour développer cette analyse qui complète mes dernières lettres.
 
Video assurance vie rendements
 
Et voici une solution toute simple : prêter à des PME françaises et européennes avec la garantie de l’État.
 
Saviez-vous seulement que c’était possible ?
 
La semaine dernière, Arnaud Lagardère a obtenu un prêt garanti de 450 millions d’euros. Arnaud Lagardère a dilapidé l’empire de son père. Bien sûr que le groupe Lagardère souffre du virus, mais celui-ci n’est que le révélateur de problèmes fondamentaux.
 
Et si c’était nous qui décidions à qui prêter cet argent garanti par l’État plutôt que
l’entre-soi parisien des banquiers et hauts-fonctionnaires?
 
C’est possible mais encore s’agirait-il de s’en saisir :
  • Demain, vous pourriez investir dans une PME française, sur un an, avec une garantie de 90% sur votre capital et un rendement 2 fois supérieur au fonds euros.

  • Vous pourriez également investir à 7% par an sur 4 ans dans une entreprise hollandaise avec une garantie aux 2/3 de votre capital.
C’est ce que l’on appelle l’investissement participatif. Les capitaux et intérêts sont remboursés mois après mois et génèrent un revenu complémentaire très recherché d’expérience.
 
Vous pourriez surtout investir dans les 2, quelques centaines d’euros ou quelques milliers d’euros, et dans bien d’autres projets afin de diluer encore votre risque résiduel et obtenir le niveau de rendement que vous désirez.
 
Avec cette solution, vous prenez votre indépendance des banques et assureurs, vous prêtez directement dans les projets que vous choisissez et sans dilapider le rendement en frais, commissions et retro-commissions dont les banques sont si friandes.
 
Bien sûr cela demande un peu de travail, mais je l’ai mâché pour vous.
J’ai réalisé un dossier d’investissement complet sur l’investissement participatif.
 
 
À votre bonne fortune,
 
Guy de La Fortelle
 
 
PS : si vous êtes abonnés aux dossiers d’investissement de Risque & Profit, vous avez reçu le dossier sur l’investissement participatif avec la confirmation de votre abonnement et vous pouvez le retrouver à tout moment sur votre espace personnel.


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